Un vieux livre poussiéreux dans une bibliothèque bizarre, c'est étrange. Mais un vieux livre poussiéreux comme celui-ci, c'est encore plus étrange. Comme dit précédemment, c'était un vieux livre. Le genre de vieux livre qui pourrait s'effriter sous tes doigts. Mais tu es curieux, alors tu l'ouvres, tu lis un peu ce qu'il y a écrit dessus. Apparemment, c'est un journal intime d'un personne nommée Apoulo. Il raconte sa vie, une vie étrange. Oui, vraiment étrange. En effet, il parle de créatures mystiques appelées sylfies, qui seraient des sortes de fées bienveillantes qui aideraient une poignée d'élus. Il parle aussi de combats contre d'autres créatures mystiques, des teras, qui étaient toute sortes d'animaux ou même de créatures légendaires qui semblaient posséder des compétences étranges. Tu n'y croyais pas une seconde. Ca devait être faux, ça devait être un de ses livres fantastiques bizarres. D'ailleurs, il n'y avait pas d'auteur. Même pas d'illustration pour la couverture et pas de résumé sur la quatrième de couverture. Tu es perplexe. Tu continues tout de même de lire. Les aventures de ce « Apoulo » devenaient de plus en plus excitantes, incluant des scènes d'action de plus en plus intenses. Tu es impatient de connaître la fin. Et d'ailleurs, tu arrives à la fin plus vite que prévu. En effet, il semblerait que le héros ait dû arrêter d'écrire pour une raison inconnue. La fin, si on peut appeler ça comme ça, c'est une page tout à fait normale. Dessus, il y avait une sorte de dessin bizarre. Décidément, ce livre devenait de plus en plus étrange. Il y a une inscription, écrite rapidement. C'était pratiquement illisible. Curieux, tu touches le sceau. Une sorte de chaleur t'envahis. Tu jettes un oeil à l'inscription et, avec un peu de mal, la lit à voix basse.
« Sas Maleterres. »
Après avoir prononcé ces mots, une sorte de lumière rougeâtre émana du dessin. Une étrange sensation de sommeil t'envahit, tes paupières commencent à se fermer. Tout autour de toi commence à tourner, et tu tombes endormi sur la table.

Tu te sens bien. Tu es allongé sur quelque chose, mais tu ne sais pas sur quoi. Tu a l'impression de flotter. Quand tu ouvres les yeux, tu es ébloui par le grand soleil qui lévite dans le ciel. Tu te rappelles pourtant que tu étais dans une bibliothèque et que c'était le soir, avant que tu t'endormes. Tu ne sais vraiment pas ce qu'il s'est passé. Tu sens quelque chose te caresser les jambes. Tu te relèves et voit que tu es sur une plage. Le sable est chaud et les vagues te rafraîchissent les jambes. Tu te lèves difficilement et observes autour de toi. Tu décides de chercher si quelqu'un se trouve ici. Tu marches, sans savoir où tu te diriges, jusqu'à atteindre une forêt verdoyante. Tu entres dedans, et remarque que des émeraudes sont accrochées aux arbres. Collée contre un arbre, une jeune fille dort. Tu t'avances vers elle et la réveille. Elle ouvre les yeux, et tu remarques qu'ils ne sont pas normaux. Ils sont rouges et injectés de sang. Tu recules doucement, espérant qu'elle ne te remarque pas. Elle se lève, et te fixe. Elle se lèche les babines. Tu prends peur en voyant qu'elle commence à se transformer en quelque chose de bizarre et que tu ne connais pas. Le vent souffle, les émeraudes accrochées aux arbres font un bruit cristallin. Le monstre se jette sur toi, et tu vois toute ta vie défiler devant toi. Tu fermes les yeux, et attends. Rien ne se passe. Tu rouvres les yeux et remarque une sorte de clown aux cheveux roses devant toi. Il semble avoir érigé une sorte de barrière magique devant lui, et le monstre s'était cogné dessus. Tu souffles de soulagement et le clown te dis quelque chose, puis te demandes de le répéter. Tu t’exécutes, puis perds conscience. Quand tu te réveilles, une migraine t'assaillit. Tu te tiens la tête à deux mains, puis regardes devant toi. Le monstre semble avoir disparu. Le clown te félicite, puis disparaît dans une étrange fumée rose. Ca te pique les yeux, mais tu préfères les garder ouvert, au cas où une autre de ces créatures t'attaquait. A l'endroit où se tenait précédemment le clown, il y avait une lettre argentée. Encore une fois poussé par ta curiosité, tu l'attrapes, et tu la lis. Bienvenue à Maleterres.

Un livre poussiéreux était là , dans une bibliothèque aussi bizarre que ses livres. Ces livres étaient poussiéreux et les couleurs sont tous vieillots sauf un, un qui était rouge flambant, un bleu verdoyant, un jaune reluisant, un vert cramoisi. Toutes ces couleurs réunis sont impossible à être sur une même couverture et vous avez raison. Il vit ces couleurs  les uns après les autres et se demanda toujours quelle couleur avait-il vu. Il attrapa le livre et ce livre devena instantanément noir ébène et la couleur resta inerte. Il se demanda ce qu'est ce fichu livre qui change de couleurs comme de chausettes et, il prit l'iniative de le lire. Un journal intime. Il soupira et se disait que c'était sûrement un de ces journals intimes d'une lycéenne, pourtant, ce n'est pas le cas. A chaque passage, il croqua à pleines les histoires. Il était écrit par un certain « Apoulo » -qui ne devait pas être aimé par ses parents vu le nom. Il parlait parlait de créatures mystiques aussi fantaisistes les unes que les autres : « sylfies », qui seraient des sortes de fées bienveillantes qui aideraient une poignée d'élus. Il parle aussi des conflits entre des animaux ou de créatures légendaire possédant des dons extraordinaires, il les appelait « tera ». Le lecteur n'en croyait pas ses yeux (ni sa tête d'ailleurs) mais ces histoires, ces contes de fées lui semblaient si réel qu'il ne put en détacher du regard. Il continua et parcoura des pages et des pages jusqu'à la fin. Enfin, ce n'était pas une fin comme les autres car il y avait un dessin, un dessin indescriptible mais tout n'était pas perdu. Il y avait une petite inscription, un petit mot écrit vite fait juste en bas. Il n'y comprenait rien. Il le retourna de haut en bas et bas en haut. Finalement, il finit par touché le sceau et il sentit une chaleur commença à inflitrer son doigt, puis son corps. Il essaya de lire l'inscription une nouvelle fois, il prononca : « Sas aylon. »
Après ces mots, une étrange lumière  s'éveilla du livre, elle lui renda aveugle pour une courte durée et une étrange torpeur s'était installée, il s'endormit sur la table.

Il se sentait bien, il était allongé là, sans vraiment savoir sur quoi. C'était quelque chose d'agréable, quelque chose de doux et agréable. Quand finalement sa curiosité lui revena, il ouvrit ses yeux et vit le soleil qui lévitait parmi les nuages. Il était sûr d'être dans une bibliothèque, que c'était la nuit. Enfin, après le coup du livre qui change de couleur, plus rien ne l'étonna mais il était tout de même paniqué : Il ne se rappella pas de comment il est arrivé ici. Il sentit quelque chose lui caresser, c'était fin et chaud, il se leva. Il vit qu'il est une sur une plage. Tout étaient magnifiques, il faisait beau. Mais la douce vague s'approcha de sa jambe et lui rappella de retourner à la réalité.

Suite : Il essaya de se lever tant bien que mal. Il regarda autour de lui et essaya de trouver quelqu'un qui pourrait le sortir de ce fichu pétrin. Il traça dans l'inconnu sans savoir la direction, tant qu'il trouvait quelqu'un. Il arriva devant un fôret. Il entra et vit d'étrange vergetures. Des émeraudes sur un arbre, des rubis sur les cactus... Une fille était endormie sur un arbre d'éméraude. Il avança vers elle et la réveilla quémander de l'aide. Quand elle ouvrit les yeux, il vit tout de suite que quelque chose ne tournait pas rond chez elle, ici. Ces yeux étaient d'une couleur rouge poupre injectés de sang. Il avait peur, il ne voulait pas avoir de problèmes. Il prit ses jambes à son cou et recula doucement pour ne pas se faire remarquer et se faire le plus discret possible. Elle se leva et se lècha les babines et le regarda de haut. Elle commença à se transformer, ses membres, ses os, tout commençaient à se transformer. Face à ce phénomène inconnu qui lui glaça le sang, il tomba sur ses genoux et trembla comme une feuille morte. Le monstre se jetta sur lui tel un léopard sur une biche. ça y est, c'est fini. Il n'avait aucune chance de s'en sortir indemme face à ce monstre, il se disa que la vie était belle et ferma les yeux pour que la mort ne soit pas trop atroce. Boum, boum, boum, boum, il entendait toujours son coeur battre. Comment est-ce possible ? Il ouvra ses yeux et vit une sorte de boule rose fluo avec une perruque flashy créer une barrière. Le monstre s'était bêtement cogné dessus et il était assommé pour de bon. Il souffla de soulagement et la boule fluo lui demanda de répéter une phrase qu'elle avait prononcé lentement. Il s'exécuta et la torpeur était revenue. Quand il se réveilla de nouveaux, il avait un mal de crâne horrible. Il pensait que sa tête allait tomber, se détacher de son corps qu'il la tena pour s'assurer qu'elle n'aille voir ailleurs. Il ouvrit les yeux et vit que le monstre était parti. Il revit la boule rose. Elle lui disait quelque chose mais pour lui, c'était du charabia. Tout ce qu'il comprit, c'est le clapement des mains et la fumée rose qu'elle faisait jaillir avant de disparaître. Cette fichue fumée avait complètement assasiner ses yeux. Il essaya de garder ses yeux et regarda de nouveau autour lui comme un idiot, comme la première fois qu'il a atteri ici. L'endroit où la boule rose avait disparu, il y avait une lettre argentée. Il se demanda si c'était une bonne idée de le lire ou pas. Il a été curieux alors allons jusqu'au bout. Il l'attrapa et la lisait. Bienvenue à Maleterres.

PS : Pleins de fautes et fail, je corrige demain.

Un livre poussiéreux était là , dans une bibliothèque aussi bizarre que ses livres. Ces livres étaient poussiéreux et les couleurs sont tous vieillots sauf un, un qui était rouge flambant, bleu verdoyant, jaune reluisant, vert cramoisi.

Qu'est-ce que c'était cette merde qui devrait être interdite aux épileptiques ? Tu hausses les épaules, après tout tu t'en fous, tu ne l'es pas et tu le prend.

Tu attrapes le livre et ce livre devenu instantanément noir ébène et la couleur resta inerte. Mon dieu, tu dois faire un trip. Tu as trop bu ce soir, ça doit être ça. Ou tu as un trouble de la vision grave. Qu'est-ce  que c'est cette merde.Tu ré-hausses les épaules. Tu t'en fous, ca doit être le dernier livre à la mode. Un journal intime. Tu soupires. Putain, ca devait être un de ces journaux intimes de lycéennes, remplis de déclaration d'amour et de fantasmes de gamines. Tu l'ouvres, parce que ça t'intéresserait bien de savoir à qui est ce bouquin.

Mais non, ce n'est pas une lycéenne.
C'est Apoulo.

Décidément ce pauvre mec avait du avoir de bien cruels parents pour recevoir ce nom. Il parlait parlait de créatures mystiques aussi fantaisistes les unes que les autres, des histoires sans fin ni début. Il évoquait aussi des conflits entre des animaux ou des créatures légendaires à l'apparence et aux mentalités ignobles. Il les nommait « terras ».

Tu devrais arrêter l'extasy et vite.

Parce que des histoires aussi bizarres, ce n'est jamais bon signe. C'est toujours comme ca dans les films : tu mates un truc chelou et hop, tu te retrouves embarquer dans une merde jusqu'au cou. Mais tu préfères lire jusqu'au bout. Et tu continues, et tu parcours des pages et des pages jusqu'à la fin. Enfin, ce n'était pas une fin comme les autres car il y avait un dessin, un dessin indescriptible mais tout n'était pas perdu. Il y avait une petite inscription, un petit mot écrit vite fait juste en bas.

Mon dieu, c'est de l'elfique ou une langue bizarre.
Peut-être une formule magique d'Harry Potter ?
Peut-etre le moyen DE DEVENIR IMMORTEL ?

Il le retourna de haut en bas et bas en haut. Finalement, il finit par touché le sceau et il sentit une chaleur commença à inflitrer son doigt, puis son corps. Il essaya de lire l'inscription une nouvelle fois, il prononca : « Sas Maleterres. »
Après ces mots, une étrange lumière  s'éveilla du livre, elle lui renda aveugle pour une courte durée et une étrange torpeur s'était installée, il s'endormit sur la table.

Il se sentait bien, il était allongé là, sans vraiment savoir sur quoi. C'était quelque chose d'agréable, quelque chose de doux et agréable. Quand finalement sa curiosité lui revena, il ouvrit ses yeux et vit le soleil qui lévitait parmi les nuages. Il était sûr d'être dans une bibliothèque, que c'était la nuit. Enfin, après le coup du livre qui change de couleur, plus rien ne l'étonna mais il était tout de même paniqué : Il ne se rappella pas de comment il est arrivé ici. Il sentit quelque chose lui caresser, c'était fin et chaud, il se leva. Il vit qu'il est une sur une plage. Tout étaient magnifiques, il faisait beau. Mais la douce vague s'approcha de sa jambe et lui rappella de retourner à la réalité.

Mon dieu. Un clown.
Ah ca y est, tu as compris, tu es au cirque et euuh...
Arg, vraiment tout ce rose te donne envie de dégueuler.

Il te demande d'une voix suave de le suivre. Sa voix résonne comme une cloche de 5 tonnes dans ta tête. Tu as envie de lui mettre un coup de boule pour qu'il arrête de te parler et te poser des questions étranges. Mais tu le suis, contraint par l'envie .